Marina présidente!!

Bouououhh!!!Marina Foïs n'a pas remporté le César pour sa performance dans Polisse. Bérénice Béjo, mignonette, pimpante mais un peu insignifiante...

Pff comme d'habitude décevants ces César!

Quoi aller voir ce week-end ??

Bullhead définitivement si vous arrivez à trouver un cinéma qui le projette...
Polisse qui est encore dans les salles!
Et puis c'est tout!!!
Bon week-end!Moi je vais le passer avec Tim dans ma tête et le souvenir de mon interview avec Joachim Trier, formidable!Je vous raconte tout ça bientôt!

Ah oui et la première affiche de Frankenweenie est arrivée !

2012 sera une bonne année pour les fans de Tim Burton puisque en mai prochain sortira Dark Shadows, relatant les mésaventures fantastiques de la famille Collins, dont fait partie le redoutable vampire Barnabas interprété par Johnny Depp. A l'automne, ce sera le tour de Frankenweenie d'envahir nos écrans.

Frankenweenie reprend un des premiers courts-métrages réalisé par Tim Burton, inspiré de l'histoire de Frankenstein, dans lequel le petit Victor Frankenstein réussissait à ramener son chien, Sparky à la vie. Une fois dehors il devra affronter les regards portés sur cette bête monstrueuse et magnifique. Le court-métrage sorti en 1984, devient long-métrage d'animation réalisé en stop-motion, en noir et blanc, et en 3D.

Tim Burton revient avec ce film d'animation, à ses thèmes de prédilection, l'amour, la mort, la monstruosité et retrouve d'anciens collaborateurs comme John August, qui avait déjà écrit les scripts de Big Fish, Les Noces Funèbres, Charlie et la chocolaterie ainsi que Winona Ryder, l'inoubliable Kim de Edward aux mains d'argent, qui prêtera sa voix au personnage de Elsa van Helsing. C'est le jeune Charlie Tahan qui doublera Victor dans le film produit par Disney, qui sortira le 5 octobre aux Etats-Unis et le 31 octobre en France, pile pour Halloween. En attendant voici la première affiche du film, qui rappelle grandement le style et l'ambiance des Noces Funèbres.

Par Camille Esnault (22/02/2012 à 16h06)

And the news of the year!!

Tim Burton investit la Cinémathèque à partir du 7 mars

Le 7 mars s'ouvrira à la Cinémathèque française, l'exposition consacrée au grand Tim Burton. Conçue à l'origine par le MoMa à New-York en 2009, l'exposition se déplace à Paris et donne l'occasion de découvrir les multiples talents du réalisateur, à travers ses dessins, ses peintures, ses photographies, ses sculptures et ses vidéos inédites, magnifiquement étranges. Des objets reliés à ses différents films, comme les costumes ou les maquettes, feront également partie des 700 oeuvres à venir découvrir.

En marge de l'exposition principale, la Cinémathèque projettera l'oeuvre intégrale du maître, allant de ses longs-métrages les plus connus, comme Edward aux mains d'argent, à ses courts-métrages plus intimistes, comme Vincent. Une Master Class sera organisée le lundi 5 mars à 15h, ainsi qu'un cycle de rencontres et de conférences autours de l'artiste. Tim Burton aura carte blanche jusqu'au 5 août 2012, pour notre plus grand bonheur, alors il s'agit de bien s'organiser pour ne pas en louper une miette !

Pour en savoir plus c'est par ici !

Exposition Tim Burton à la Cinémathèque... par lacinematheque

Par Camille Esnault (20/02/2012 à 17h02)

J'y serai le 5 mars pour une visite privée avec la presse suivie d'une conférence de presse avec le grand Tim Burton!!!!!OMG!!

Un film à voir absolument, puissant

La gifle Bullhead (5,00)

Bullhead, surprise venue tout droit de Belgique, s'annonçait comme un sombre polar en milieu agraire, et se révèle récit tragique d'un destin brisé.

Bullhead ne vous laisse pas indifférent, il surprend, émeut, bouleverse. Le film commence comme un polar situé dans le milieu agraire. Jacky Vanmarsenille est un gros costaud, chargé d'intimider les clients qui mettent des bâtons dans les roues au trafic d'hormones qu'il mène avec son oncle et un vétérinaire sans scrupules. Le film change rapidement d'orientation et devient bien plus intéressant, quand le vétérinaire propose de voir plus grand et de s'associer avec le plus puissant trafiquant de Flandre. La rencontre est chargée d'une tension palpable, que l'on ne comprendra que plus tard, le réalisateur ménageant le suspense avec subtilité. Le polar centré sur des histoires de trafic d'influence, d'assassinat de policier, devient drame humain, lorsqu'il réunit deux amis d'enfance, qui partagent un lourd secret, après 20 ans de séparation. Cette intensité sera présente dans toutes les scènes qui réuniront les deux personnages, dont on sent la force du lien qui les unit, sans pourtant qu'aucun mot ne soit prononcé.

La construction des personnages est puissante et habile. Jacky, la brute du départ, glisse doucement vers le héros tragique, homme au destin brisé, qui n'est pas « ce qu'il devrait être ». Il est comme les bœufs dont il s'est occupé toute sa vie, obligé de se doper aux hormones, à la fois monstrueux et magnifique. Jacky est une bombe à retardement, qui ne parvient pas à se plier aux usages sociaux, coincé dans le traumatisme de son enfance. Il se raccroche à Lucia dont il est tombé amoureux petit garçon, qu'il imagine comme sa planche de salut, mais qui décidera pourtant de sa fin. Diederik est comme lui, bloqué en enfance par la culpabilité d'avoir abandonné son ami. Il pourra se racheter de sa faute, à la fin du film dans une scène émouvante aux larmes.

Bullhead, regorge de personnages secondaires tout aussi intéressants et finement dépeints dans des situations au réel potentiel comique, notamment les scènes avec les deux garagistes Wallons, qui s'intègrent parfaitement à l'économie générale du film. Le long-métrage mélange le tragique et le grotesque pour évoquer la virilité, la question de la force du destin, portée par des acteurs au jeu puissant, et une mise en scène rythmée et subtile. Bullhead (tête de bœuf) reste dans la tête, et surtout dans les tripes et donne envie de suivre de près Michaël R.Roskam, le scénariste et réalisateur, dont c'est le premier long-métrage.

Par Camille Esnault

Sécurité rapprochée de Daniel Espinosa : le plein d'action

  Sécurité Rapprochée propose un scénario cliché à souhait, rendu intéressant par la mise en scène rythmée et réaliste de Daniel Espinosa ( Easy Money). On fait le plein d'action et on aime ça.

Si vous aimez les films d'action, Sécurité Rapprochée a tout ce qu'il faut pour vous séduire, un grand méchant, Tobin Frost (le très bon Denzel Washington), un héros tellement proche de nous, Matt Weston (le montant Ryan Reynolds), des méchants auxquels on ne s'attend pas et une jolie femme, douce et câline, et pour l'occasion, petite Française, Ana ( Nora Arnezeder) et bien sûr des coups de feu, des explosions, des carambolages et des combats sanglants. David Guggenheim nous livre un scénario totalement cliché, racontant l'épopée de deux personnages opposés, coincés l'un avec l'autre, Tobin Frost, ancien agent de la CIA, passé du mauvais côté, et Matt Weston, nouvelle recrue, en manque d'action, attitré à la surveillance d'une planque. Son souhait sera exaucé, lorsqu'un mystérieux commando, décimera les agents de la CIA venus interroger le suspect numéro un des Etats-Unis. S'en suivra alors une course poursuite déchaînée, à travers les rues du Cap en Afrique du Sud, entre les deux hommes et cette organisation mystérieuse.

Le scénario offre des actions et des dialogues prévisibles, des thèmes convenus, des personnages basiques. Tobine Frost et Matt Weston, sont construits en miroir inversé, chacun représentant le double de l'autre. Métaphore appuyée par une des scènes finales, qui met dans la bouche de Tobin Frost, s'adressant à Matt, ce qui a été développé depuis le début, « Tu me rappelles...moi […] sois meilleur que moi ». Mais malgré tous ses défauts, Sécurité Rapprochée fonctionne à merveille. La faute à la réalisation très rythmée et au style réaliste créé par la présence de nombreuses (un peu trop ?) scènes tournées en steadycam, aux multiples gros plans sur les visages tourmentés des personnages, au jeu des acteurs, qui ne tombent pas dans le cliché, vers lequel penchent pourtant dangereusement leurs personnages.

Daniel Espinosa offre un vrai film d'action réussi, en proposant une mise en scène, un peu outrée par moments, mais intéressante et non superficielle. Le spectateur sursaute, angoisse, face aux scènes d'actions plus pensées comme des scènes de guerre, par le réalisateur, qui a su s'entourer de professionnels, et ça se voit.

Par Camille Esnault

César 2012 : la jeune génération à l'honneur

Ça y est ce soir c'est le grand soir pour le cinéma français ! Aura lieu, au théâtre du Châtelet, la cérémonie des César, présidée par Guillaume Canet et présentée par Antoine de Caunes. La jeune génération sera mise à l'honneur lors de cette 37eme édition, avec 9 nominations pour Eric Toledano et Olivier Nakache, réalisateurs d' Intouchables, 10 nominations pour Michel Hazanavicius, pour The Artist et 13 nominations pour Polisse de Maïwenn, âgée seulement de 35 ans. Citons également les 6 nominations de La Guerre est déclaré, le deuxième long-métrage de Valérie Donzelli, 38 ans.

Côtés interprètes les jeunes sont également bien représentés, avec Marina Foïs pour son rôle dans Polisse. Jamais primée, l'actrice arrive en tête des paris devant sa partenaire Karin Viard. Ariane Ascaride est nominée pour Les Neiges du Kilimandjaro aux côtés de Bérénice Béjo pour The Artist, Leïla Bekhti pour La Source des Femmes, Valérie Donzelli pour son film La Guerre est déclarée et Marie Gillain pour Toutes nos envies. Jean Dujardin et Omar Sy jamais nommés, apparaissent comme les grands favoris de la cérémonie. A leurs côtés, on retrouve de grands habitués de la cérémonie comme Denis Podalydès pour La conquête, Philippe Torreton pour Présumé Coupable, Sami Bouajila pour Omar m'a tuer, Olivier Gourmet pour L'Exercice de l'Etat et bien-sûr François Cluzet pour Intouchables, qui comptabilise 9 nominations aux César depuis le début de sa carrière, dont un obtenu pour Ne le dis à personne de Guillaume Canet.

The Artist qui rafle tous les prix depuis Cannes, où a commencé sa carrière avec la palme du meilleur acteur décernée à Jean Dujardin, apparaît comme le grand favori et trouve en les films Intouchables et Polisse deux grands compétiteurs. Mais d'autres longs-métrages pourraient bien créer la surprise, comme L'Exercice de l'Etat de Pierre Schoeller, sur la vie d'un cabinet ministériel qui comptabilise 11 nominations, ou encore L'Apollonide, souvenirs de la maison close de Bertrand Bonello, qui lui engrange 8 nominations au total.

Verdict ce soir à partir de 20h30, en direct et en clair sur Canal+ !

Par Camille Esnault (24/02/2012 à 10h46)

Un remake italien pour Intouchables ?

Intouchables pourrait connaître un remake italien. C'est en tout cas ce qu'a annoncé la société qui produit le film, Medusa Films. Le long-métrage d' Eric Toledano et Olivier Nakache suivrait ainsi la voie tracée par Bienvenue chez Les ch'tis qui avait lui aussi fait l'objet d'un remake dans le pays, Benvenuti al Sud.

En attendant d'en savoir plus, Intouchables, ou plutôt Quasi Amici, sortira en Italie ce vendredi, avant de sortir en Espagne début mars. Le film, qui a fait 19 millions d'entrées en France, connait actuellement un grand succès en Allemagne, où il a déjà attiré 5 millions de spectateurs.

Par Camille Esnault (24/02/2012 à 11h31)

Le manga Bleach adapté par Warner Bros

Au printemps 2010, la Warner Bros, annonçait qu'elle avait racheté les droits du célèbre Manga Bleach créé par Tite Kubo en 2001. Depuis, plus de nouvelles du projet, délaissé au profit d'un autre Manga tout aussi culte, Akira. Le budget de ce dernier posant quelques problèmes, les studios ont décidé de revenir sur le projet de Bleach qui devrait alors voir le jour.

C'est le magazine Variety qui a annoncé la présence de Peter Segal ( Max la Menace) pour superviser l'adaptation qui ne se ferait pas en animation, mais en live action. Ce dernier pourrait également mettre en scène le long-métrage dont le scénario sera écrit par Dan Mazeau, à l'origine du script de la grosse production Warner à venir le 28 mars prochain, Le Choc des Titans.

Bleach, constitué de 53 tomes, est un classique des mangas nippons, et raconte l'histoire d'un lycéen choisi pour protéger les vivants des forces du mal et des âmes damnées. Le divertissement asiatique populaire, attise de plus en plus les convoitises d'Hollywood, avec plusieurs projets en cours, comme Full Metal Panic, Ghost in the Shell, Mai ou encore The Psychic Girl, mais qui restent pourtant seulement à l'état d'ébauches.

Par Camille Esnault (24/02/2012 à 12h22)

James Bond en IMAX

Le très attendu Skyfall réserve une nouvelle surprise aux fans de James Bond, puisqu'il sera projeté en format IMAX.

C'est Allocine qui a annoncé que le film, réalisé par Sam Mendes suivrait la grande tendance de 2012, l'IMAX, format dans lequel John Carter, Sur la Piste du Marsupilami ou encore The Dark Knight Rises seront également projetés.

Mission Impossible : protocole fantôme avait également bénéficié de ce format. Il faudra attendre le 24 octobre, date de la sortie française, pour juger de l'intérêt de l'IMAX, appliqué à la saga James Bond.

Par Camille Esnault (24/02/2012 à 14h45)

Une nouvelle bande-annonce en VF pour Hunger Games

Le très attendu Hunger Games, qui sortira le 21 mars dans les salles françaises, s'est enrichi d'une nouvelle bande annonce en français. Celle-ci a été diffusée à l'occasion du Superbowl américain qui a eu lieu le 5 février dernier, et offre de nouvelles images du combat que devra mener Katniss ( Jennifer Lawrence), habitante d'un futur apocalyptique.

Rappelons que l'avant-première parisienne a été fixée au jeudi 15 mars 2012 au cinéma Gaumont Champs-Elysées Marignan à Paris, avec la présence des acteurs Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson et Liam Hemsworth, ainsi que celle du réalisateur Gary Ross. Ne tardez plus pour prendre vos places ici et à entrer dans l'arène !

Hunger Games Bande Annonce # 2 Vf par Filmsactu

Par Camille Esnault (23/02/2012 à 16h31)

La première vidéo de Skyfall

La sortie sur les écrans des nouvelles aventures de James Bond, Skyfall, est encore bien loin, alors pour nous faire patienter jusqu'à novembre 2012, Columbia Pictures nous offre une petite vidéo. Cette vidéo d'1 minute 30, que l'on peut visionner sur le site 007.com, nous montre les coulisses du tournage, commentées par le réalisateur Sam Mendes.

Daniel Craig reprendra bien-sûr le rôle du super agent secret, et sera bien entouré, puisque Javier Bardem, Judi Dench, Ralph Fiennes ou encore Naomie Harris feront également partie de la distribution. Dans Skyfall, la loyauté de James Bond envers M sera mise à rude épreuve, lorsque le passé trouble de celle-ci refera surface.

Par Camille Esnault (22/02/2012 à 10h52)

Deux acteurs de plus au générique du film de Kathryn Bigelow

Kathryn Bigelow s'intéressera dans son prochain film à Oussama Ben Laden. Plus précisément, le scénario écrit par Mark Boal, relatera le quotidien de l'équipe chargée de lancer l'offensive contre le terroriste réfugié au Pakistan. Le casting du film ne cesse de s'allonger, puisque après la confirmation de Jessica Chastain et Joel Edgerton, c'est au tour du frère, Nash Edgerton de rejoindre le projet.

Jennifer Ehle, vue notamment dans Le discours d'un roi rejoindra également le casting, tout comme Kyle Chandler, surtout connu pour ses rôles à la télévision dans Friday Night Lights, par exemple. Edgar Ramirez, Mark Strong, Chris Pratt et Jason Clarke feront également partie de ce drame militaire.

La réalisatrice, qui avait tout raflé aux Oscars 2010, avec son film Démineurs, avait crée la polémique en annonçant que son prochain long-métrage, traiterait de la mission qui entraina l'assassinat du leader d'Al-Qaïda, le 2 mai 2011. La date de sortie a été fixée par les studios Sony Pictures, au 19 décembre 2012 aux Etats-Unis et au Canada, plus d'un mois après le scrutin présidentiel américain, afin de ne pas le perturber.

Par Camille Esnault (22/02/2012 à 11h34)

Une comédie musicale adaptée de Bodyguard

Quelques jours après la disparition de Whitney Houston, le quotidien britannique, The Guardian, révèle qu'une comédie musicale, inspirée du film Bodyguard est en préparation. Cette adaptation du long-métrage réalisé par Mick Jackson et qui a offert à la chanteuse son plus gros succès au cinéma, sera mis en scène au London's Adelphi Theatre de Londres à l'automne 2012.

La chanteuse américaine de R&B Heather Headley reprendra le rôle de la diva dont la vie est menacée par un fan, dans cette comédie musicale écrite par le dramaturge américain Alex Dinelaris. Selon le Guardian, le projet était en préparation bien avant la mort de Whitney Houston, qui a eu pour conséquence de l'accélérer. Le première devrait avoir lieu en novembre à Londres.

Par Camille Esnault (22/02/2012 à 12h25)

Will Ferrell et Zach Galifianakis, deux comiques de plus pour les Oscars 2012

Plus que quelques jours avant les Oscars et la liste des personnalités, invitées à remettre un trophée, ne cesse de s'allonger. C'est au tour de Will Ferrell, vu dans Very Bad Cops, et Zach Galifianakis, de Very Bad Trip, de rejoindre la liste des acteurs engagés pour faire rire l'audience, le jour J.

Le 26 février, ils rejoindront dans l'exercice, Tina Fey, Ben Stiller, Chris Rock et bien-sûr Billy Crystal qui présentera l'événement. Les Français pourront suivre la 84eme cérémonie des Oscars, commentée par Laurent Weil et Didier Allouch, sur Canal +, dans la nuit du 26 au 27 février. Pour l'occasion, la France sera à l'honneur avec The Artist qui comptabilise 10 nominations.

Par Camille Esnault (22/02/2012 à 16h11)

Une préquelle pour Je suis une Légende

Depuis déjà trois ans, une préquelle du film Je suis une légende, sorti en 2007, est en projet. Celui-ci vient enfin de se concrétiser d'après Deadline.com, qui a annoncé aujourd'hui, que les studios Warner Bros avaient enfin signé avec le producteur et scénariste Akiva Goldsman et la société de production Overbrook Entertainment de Will Smith, afin de développer le nouvel opus.

Will Smith devrait retrouver le rôle du scientifique Robert Neville, dernier survivant d'une pandémie, qui transforme les gens en être décharnés et cannibales, sensibles aux rayons du soleil. Le premier opus était adapté du roman de science-fiction de l'auteur américain Richard Matheson, paru en 1954 et devrait alors connaître une suite qui se déroulerait trois ans plus tôt, décrivant la chute de Manhattan, qu'un petit groupe de personnes essaieraient de protéger.

Le projet ne pourra voir le jour que si Will Smith accepte le script, écrit par Arash Amel, qui signera également le futur biopic Grace of Monaco réalisé par Olivier Dahan. Rien n'indique encore si Francis Lawrence retrouvera son poste de réalisateur. Je suis une Légende avait, à sa sortie, récolté 585 millions de dollars de recettes à travers le monde.

Par Camille Esnault (20/02/2012 à 10h28)

Box-office US : de l'action avec Sécurité Rapprochée

Après l'amour, place à l'action avec Sécurité Rapprochée. Pour son deuxième week-end de sortie, le film d'action avec Ryan Reynolds en agent secret et Denzel Washington en grand méchant, prend la tête du box-office avec 24 millions de $, et relègue la comédie romantique Je te promets au deuxième rang avec 23,6 millions de $. Les deux sorties du week-end Ghost Rider : L'esprit de vengeance et Target partent mal en se plaçant respectivement à la troisième et à la cinquième place du classement. Le deuxième opus de Ghost Rider mettant en scène un Nicolas Cage à la tête enflammée démarre avec 22 millions de $, alors que le premier en avait récolté 45 millions lors de sa sortie.

Voyage au Centre de la Terre 2 : l'île mystérieuse, est à la quatrième place et compte 20,1 millions de $ pour son deuxième week-end, l'addition récit fantastique plus 3D a, une fois de plus payée. A la dernière place du top 5 on trouve le trio Reese Witherspoon, Chris Pine, Tom Hardy, qui n'a séduit que 17,6 millions de $ pour son premier week-end. La comédie romantique, dans laquelle deux espions se battent pour la même fille suit de près le destin de Recherche Bad Boys désespérément, avec Katherine Heigl, qui avait seulement fait 11,5 millions en ouverture. Serait-ce un cri du public contre la production en batterie de comédies romantiques au scénario plus que douteux ?

Par Camille Esnault (20/02/2012 à 11h07)

L'âge de Glace 4 parodie The Artist

Aux vues du triomphe du film muet The Artist, L'Age de Glace 4 a décidé de s'y mettre. A l'approche de sa sortie le 27 juin prochain en France, le film nous offre un teaser façon The Artist, retraçant l'histoire d'amour entre le personnage de Scrat et son gland. Il s'agit d'un best-of des trois premiers volets en noir et blanc, accompagné d'une musique swing rappelant celle du film phénomène.

La vidéo se termine par un dialogue entre Sid le paresseux et Manny le mammouth, via cartons bien-sûr, précisant que le film ne sera pas muet lors de sa sortie en salles. Vous retrouverez alors le 27 juin les voix de Vincent Cassel, Elie Semoun et Gérard Lanvin, ainsi que la couleur et la 3D.

Par Camille Esnault (20/02/2012 à 15h52)

Michael Fassbender dans un nouveau projet celte

On devrait bientôt retrouver l'excellent Michael Fassbender sur les écrans, dans un projet plus personnel. Selon le magazine Variety, l'acteur serait en train de développer avec le scénariste Ronan Bennett nord-irlandais comme lui, un long-métrage portant sur un guerrier de la mythologie celte, Cuchulain.

Le guerrier est les personnage central du cycle d'Ulster, qui est un groupement de textes épiques appartenant aux légendes celtiques. Aucun titre, ni réalisateur, n'est pour le moment connu. Le projet sera développé par la société de production des deux hommes, Michael Fassbender que l'on attend en mai dans Prometheus de Ridley Scott et Ronan Bennett le scénariste de Public Enemies.

Par Camille Esnault (20/02/2012 à 16h26)

Recap de la semaine

Alors, petit récap de la semaine : des films que j'ai vue et qui sont sortis mercredi et qui vaillent la peine de se deplacer dans les salles obscures, bah...aucun!!ça n'a pas été un bon cru pour cette semaine, mais la semaine prochaine sort mon chouchou Bullhead, dont je vous reparlerai à ce moment là!

Oui et déplacez vous pour voir Polisse qui ressort dans les cinémas le 22!ça vaut le coup, n'ayez pas peur ce n'est pas un film trop lourd émotionnellement, il est tendre, drôle et bouleversant tout à la fois!Allez-y, allez-y!!

Bon week-end, bons films et bonne lecture!!

La Dame de Fer : Meryl Streep, toujours excellente

La Dame de Fer retrace la vie de la première femme à avoir été élue à la tête d'un pays en Occident, mais déçoit, en survolant seulement les événements qui ont fait d'elle, la femme qui « a changé la face du monde ».

Il est des personnages aux destinées exceptionnelles, Margaret Thatcher en fait partie. Elle a été la première femme à diriger le parti conservateur et la première et unique à avoir été premier ministre du Royaume-Uni. Elle a changé la face de la politique britannique, et peut-être même la face du monde, quoi de plus naturel alors que de consacrer un film à celle qui a ouvert la voie. Ce n'est que l'ombre de cette « dame de fer », comme l'ont surnommé les soviétiques, que l'on retrouve dans le début du film. On est en effet, plongé directement dans ses vieux jours, qui la montrent, même si toujours obstinée, légèrement sénile, discutant avec son mari décédé depuis des années. Le spectateur est immergé dans son passé à l'aide de nombreux flashs-back, déclenchés par un son, une image ou encore un objet, qui rappellera la femme politique à son histoire.

On est alors plutôt séduit par le rythme soutenu, des premières minutes, montrant sa jeunesse de fille d'épicier engagé politiquement, qui sera celui par qui la passion naîtra, et ses premières tentatives politiques après Oxford. Mais ce qui nous séduit moins, c'est que le rythme ne ralentira jamais. Le récit sera mené, sur les chapeaux de roues, mêlant, images d'archives, d' événements cruciaux de la vie politique de Margaret Thatcher à des images de sa vie personnelle. Les événements forts s'enchaînent, les émeutes de 1981, la guerre des Malouines de 1982, les sensations aussi, l'assassinat de son ami et conseiller Airey Neave, sa propre tentative d'assassinat par l'IRA, sans qu'on ait vraiment le temps de comprendre ce qu'il nous arrive. Des décisions, ou des faits cruciaux de sa vie, de sa carrière, ne sont que survolés, le film assumant peut-être que le spectateur est déjà en possession de toutes les clés concernant le personnage. Il est difficile dans ce contexte de s'attacher réellement à l'héroïne, dont on ne ressent pas l'évolution de caractère, au gré des expériences et des obstacles qu'elle rencontre.

Phyllida Lloyd propose une mise en scène qui n'a pas peur des clichés, citons notamment la scène dans laquelle Margaret Thatcher prépare son mari au grand départ, vers la lumière blanche. Le développement des intrigues n'est alors que superficiel, mettant d'avantage en avant, sa relation amoureuse avec Denis Thatcher, que son action dans la politique internationale de l'époque. On aurait aimé que le récit se concentre plus sur son rôle dans l'émancipation des femmes ou encore dans la fin de la guerre froide. Cette femme qui répète tout au long du film que les idées sont plus importantes que les sentiments, est paradoxalement présentée, presque essentiellement, à travers sa relation avec son mari.

Le biopic déçoit, mais la prestation de Meryl Streep enchante. L'actrice livre une nouvelle fois une performance incroyable en incarnant la force d'une femme qui livre un combat contre un monde phallocrate, chez qui on retrouve presque les traits de l'héroine d' Out of Africa, Karen Blixen. On pardonne alors bien des choses à La Dame de Fer, sauvé, par son actrice principale, tout comme l'était J.Edgar, par Léonardo DiCaprio.

Par Camille Esnault

Howl ou la rencontre manquée du cinéma et de la poésie

Le film Howl a de nombreux points communs avec Harvey Milk sorti en 2009, la présence de Gus Van Sant (producteur), celle de James Franco et l'arrière plan, celui du San Francisco des gaies et des lesbiennes. Ne vous trompez pas, la comparaison s'arrête là. Howl n'a rien de l'engagé et émouvant Harvey Milk, sa tentative d'adaptation à l'écran tombe complètement à l'eau.

Allen Ginsberg publie en 1956 un poème intitulé Howl. Il est qualifié d'obscène par les milieux conservateurs qui intenteront, un procès à l'éditeur, Lawrence Ferlinghetti. Le film Howl entrelace plusieurs récits, celui du procès, de l'interview d'Allen Ginsberg qui se remémore ses jeunes années, de la lecture du poème par le poète à la Six gallery de San Francisco et des séquences d'animation inspirées par cette lecture. Howl n'est pas l'histoire du procès ou du processus de création d'Allen Ginsberg, il est le poème lui-même. Ce dernier est, en effet, présent dans sa totalité à travers une lecture hyperarticulée et rébarbative menée par James Franco. Lecture appuyée par des images d'animation très abstraites et qui n'ont d'intérêt ni pédagogique, ni esthétique. On attend alors que ça passe, pour reprendre le cours de l'interview du Ginsberg barbu. Parce que finalement ce qui nous intéresse dans le film de Rob Epstein et Jeffrey Friedmann, c'est le parcours de l'homme derrière Howl, un des artistes majeurs de la Beat Generation. Mais malheureusement on ne reste pas non plus très longtemps en sa compagnie, arrachés par les images du procès de l'éditeur, en cours. Voilà le gros défaut de Howl, les réalisateurs en ont fait une sorte de patchwork. Pour sûre il y a de jolis morceaux, comme la réflexion de Ginsberg sur ce qu'est finalement la réalité sociale, dans une Amérique des années 50 où les gais doivent promettre de devenir hétéro pour échapper aux électrochocs, mais pas assez développés pour tenir un spectateur en haleine pendant 1h24.

Les deux réalisateurs, normalement habitués aux documentaires créent ici une œuvre abstraite qui laisse le spectateur dans le flou. Peut-être ont-ils voulu transmettre l'esprit du poème et de l'époque, de la Beat Generation, en faisant comme elle, en déconstruisant les formes existantes. Si ce procédé a fonctionné pour le poème Howl, c'est un peu plus difficile pour le film Howl. On a parfois l'impression d'assister à une explication de texte laborieuse, ce qui s'estompe avec les séquences d'interview bien plus solides et profondes que le reste du film, portées par un James Franco très bon dans cet exercice difficile. Howl aura au moins le mérite de montrer l'étendu des talents d'acteur de James Franco qui est la lumière de cette ensemble brumeux.

Par Camille Esnault

Voyage au centre de la terre 2 : l'île mystérieuse, divertissant

Nos espérances n'étaient pas très grandes quant à la qualité de Voyage au centre de la Terre 2 : l'île mystérieuse en 3D. Mais en n'affichant aucune prétention artistique, juste celle de divertir, ce produit d'exploitation, s'avère finalement plutôt sympathique.

Voyage au centre de la Terre 2 : l'île mystérieuse reprend la même recette que le premier volet, en plongeant les personnages dans un monde hostile, peuplé de bêtes mystérieuses et de cités légendaires. On retrouve Sean Anderson ( Josh Hutcherson), adolescent en rébellion contre son nouveau beau-père bodybuildé Hank, interprété par Dwayne Johnson. L'aventure ne tardera pas à commencer, quand ce dernier décidera d'accompagner, contre son gré, son beau-fils, à la recherche de son grand-père qui lui a envoyé un message codé en provenance de l'île mystérieuse.

Une fois échoués sur l'île, tout est réuni pour une grande aventure, des lézards géants, des paysages paradisiaques, des volcans qui crachent de l'or et une bande d'aventuriers composée d'un vieux scientifique ( Michael Caine), d'un ado un peu maladroit, mais courageux, d'un monsieur muscle fort et responsable, d'un rigolo, le pilote d'hélicoptère incarné par Luis Guzman et bien-sûr d'une jolie fille ( Vanessa Hudgens). On suit leur petite aventure avec un certain plaisir et on se laisse même aller à quelques sourires. Même si les images et les effets spéciaux ne sont pas d'une qualité exceptionnelle, la 3D, d'habitude plus gênante qu'autre chose, est ici plutôt bien utilisée par Brad Peyton, qui multiplie les ralentis pour mettre en relief une action ou un objet important.

Voyage au centre de la Terre 2 : l'île mystérieuse, reste une pâle adaptation des romans si visionnaires écrits par Jules Verne, avec un casting plutôt étonnant, notamment la présence de Dwayne Johnson au jeu approximatif et des thèmes développés de façon cliché, comme la paternité ou la romance entre les deux adolescents. Le récit est bâclé, laissant presque sentir un je-m'en-foutisme de la part du scénario. Mais on est finalement indulgent face à film d'aventures qui n'affiche pas d'autre ambition que celle de divertir un jeune public, qui le sera sûrement.

Par Camille Esnault

Déjà une suite pour John Carter

Le film de science-fiction John Carter n'est même pas encore sorti sur les écrans, que déjà le producteur annonce qu'une suite est en projet. Jim Morris, le producteur du film qui ne sort que le 9 mars aux Etats-Unis, le 7 en France, a fait savoir que le réalisateur Andrew Stanton et le scénariste Michael Chabon, s'étaient déjà mis au travail. Le deuxième opus a même un titre provisoire, The Gods of Mars, et raconterait alors la suite des aventures de John Carter, interprété par Taylor Kitsch, ancien soldat confédéré envoyé sur Mars où il doit faire face aux nombreux dangers qui le menacent.

Andrew Stanton a confirmé au site The Playlist, qu'il travaillait bien sur la suite de John Carter, mais également sur un projet parallèle top secret, qui mélangerait action live et animation, au cas où le premier tomberait à l'eau. Walt Disney avait pourtant déclaré mi-octobre, que John Carter aurait une suite seulement si les recettes au box-office mondial dépassaient 700 millions de dollars.

Par Camille Esnault (17/02/2012 à 10h31)

Kool Shen incarnera Christophe Rocancourt

Catherine Breillat a profité de la comparution de Christophe Rocancourt aujourd'hui, pour abus de faiblesse, pour confirmer aux micros de France-Inter, qu'elle allait tourner un film retraçant son histoire avec l'arnaqueur. La cinéaste, victime d'un accident vasculaire cérébral en 2005, accuse en effet Christophe Rocancourt de lui avoir soutiré 650 000 euros.

La réalisatrice de Romance et A ma sœur a alors décidé d'adapter son autobiographie, Abus de faiblesse pour « laver son honneur et ternir à jamais » celui de l'homme qui a réussi à escroquer le tout Hollywood. Elle a choisi Kool Shen pour entrer dans la peau du personnage de Viko un « escroc flamboyant » par qui est attiré une cinéaste, incarnée elle par Isabelle Huppert, et qu'elle désire engager dans son prochain film.

Si le rappeur est déjà apparu dans quelques films, c'est le premier grand rôle qui lui est proposé. Souhaitons lui que le 7e art lui ouvre les portes, comme il l'a fait à son ex camarade de NTM, Joey Starr dont les prestations dans Le Bal des Actrices ou Polisse ont été saluées.

Par Camille Esnault (17/02/2012 à 11h46)

Orlando Bloom et Djimon Hounsoun dans le nouveau film de Jerôme Salle

Le réalisateur français, Jérôme Salle, va réaliser son premier film en langue anglaise, intitulé Zulu. D'après Le Film Français, le réalisateur de Largo Winch a choisi Orlando Bloom et Djimon Hounsou ( Blood Diamond) pour incarner les héros de ce drame qui met en scène trois policiers évoluant dans une Afrique du Sud meurtrie par le racisme et le sida, allant de ses bidonvilles à ses luxueux quartiers.

Le long-métrage est une adaptation du roman éponyme de l'écrivain Breton, Caryl Ferey, qui avait reçu le Grand Prix des lectrices de Elle en 2009. Pour l'écriture du scénario Jérôme Salle a encore fait appel à Julien Rappeneau, qui avait déjà rédigé celui de Largo Winch. Le tournage devrait débuter en juillet prochain, principalement au Cap, en Afrique du Sud.

Par Camille Esnault (17/02/2012 à 12h24)

Gael Garcia Bernal sera Zorro

Un reboot de Zorro avait été annoncé par la Fox en avril 2011, sans être vraiment pris au sérieux, tant le projet était encore flou. Il vient de se concrétiser avec la confirmation de la participation de Gael Garcia Bernal dans le rôle du justicier masqué. Le Zorro Reborn se déroulera dans un futur apocalyptique et présentera un héros plus porté sur la vengeance que la justice.

Le projet n'a pas encore de réalisateur et n'est pas à confondre avec la version que Sony prépare actuellement, une immersion aux origines de l'histoire, inspirée d'un roman de la chilienne Isabel Allende. La dernière adaptation de Zorro remonte à 2005, avec La légende de Zorro des studios Sony, qui mettait aussi un bel espagnole, Antonio Banderas, dans la peau du héros amoureux de la sensuelle Catherine Zeta-Jones.

Par Camille Esnault (17/02/2012 à 12h58)

Présentation de Abraham Lincoln : Vampire Hunter par Tim Burton en personne

 

La promotion du film Abraham Lincoln : Vampire Hunter, qui sortira le 11 juillet 2012 en France, bat son plein aux Etats-Unis. Il a en effet été présenté, la semaine dernière, lors d'une soirée organisée par la Fox dans l'Abraham Lincoln Presidential Library and Museum de Springfield (Illinois). Une bonne partie de l'équipe du film avait fait le déplacement, le réalisateur Timur Bekmambetov, le scénariste et auteur du roman dont est adapté le long-métrage, Seth Graham-Smith, l'acteur principal, Benjamin Walker et le co-producteur, Jim Lemley.

Seul Tim Burton manquait à l'appel, il a donc décidé de remédier à cela, en réalisant une petite vidéo le présentant au milieu d'un cimetière enneigé, entouré de personnages inquiétants. Il en profite pour s'excuser de ne pas être là, mais il est en ce moment occupé à enquêter sur « l'épouvantable vérité : le Prince Charles est en réalité un loup-Garou ! », avant de terminer sur le slogan du film « Etes-vous un patriote ou êtes-vous un vampire ? »

Cet événement a été l'occasion de présenter la bande-annonce du film, ainsi que des images des coulisses du tournage, avec des interviews de Tim Burton et Timur Bekmambetov. On peut y voir le grand Tim affirmer que Abraham Lincoln : Vampire Hunter est « le type de film qu'il a envie de voir ». Allez on lui fait confiance et on découvre les images !

Par Camille Esnault (16/02/2012 à 10h39)

Soupçons et Rebecca d'Hitchock auront leur remake

 

Hollywood semblerait atteint d'un syndrome étrange qui pousse les réalisateurs à réaliser plusieurs versions d'une même œuvre. Après les deux reprises de Blanche Neige, avec Julia Roberts et Lily Collins d'un côté et Charlize Theron et Kristen Stewart de l'autre, qui sortiront, respectivement en avril et mai prochain, c'est au tour des films d' Alfred Hitchcock de subir le même traitement.

C'est en effet le magazine Variety qui a révélé que deux adaptations étaient en projet, d'abord pour le film Rebecca et ensuite pour Soupçons. C'est Dremworks et Working Title Films qui souhaitent faire un remake du film noir, traitant de l'emprise d'une femme décédée sur son mari, sorti en 1940. La nouvelle version sera scénarisée par Steven Knight, à l'origine du script des Promesses de l'ombre de David Cronenberg en 2007. Pour l'heure, le casting n'est pas encore dévoilé. Enfin, le long métrage sera, plus précisément une adaptation du roman de Daphné Maurier, dont était déjà inspiré le film original.

Soupçons, sera quant à lui, repris par la Paramount qui aurait engagé Venna Sud pour écrire le scénario. Sud a travaillé pour la chaîne de télévision AMC, pour laquelle elle produit la version américaine de la série danoise The Killing, et écrit également pour la série Cold Case. Le thriller était, lui aussi, adapté d'un roman, de 1932 écrit par Francis Iles, dans lequel une femme se persuade elle-même que son mari tente de la tuer. On ne connait pas encore l'identité du réalisateur, de ce remake, qui s'attellera à la fameuse scène du verre de lait, véritable prouesse en terme de montage et de mise en scène.

Par Camille Esnault (16/02/2012 à 11h30)

Oscars 2012 : Chris Rock remettra aussi un des trophées

La 84e cérémonie des Oscars approche à grands pas, et l'Académie américaine des arts et sciences du cinéma, ne s'arrête plus de divulguer les noms des personnalités qui interviendront lors de la grande soirée. Après Jennifer Lopez et le casting de Mes Meilleures Amies, c'est au tour de Chris Rock d'être choisi pour remettre un des trophées.

Billy Crystal qui présentera l'événement retransmis en direct sur la chaîne américaine ABC et sur Canal+ en France, dans la nuit du 26 au 27 février, sera décidément bien entouré. Les noms de Tom Hanks, Tom Cruise, Bradley Cooper et Cameron Diaz ont également été annoncés à titre encore provisoire.

Par Camille Esnault (16/02/2012 à 12h01)